AUX LARMES, CITOYENS !
Il y a quelques années, le fils de la principauté vous faisait part d’un arrêté municipal interdisant de mourir dans la commune de Cugnaux, près de Toulouse. Dans la commune de Champlan, c’est le maire divers droite qui aurait interdit l’inhumation d’un bébé dans le cimetière de son territoire.
Raison : Le cimetière est réservé à ceux qui paient les impôts locaux.
Traduction : Les Roms étant des voyageurs et qu’ils n’ont de base nulle part sur la vaste terre, comme les nomades du désert et les pygmées, ils n’ont droit à rien dans l’une des communes du pays des droits de l’homme, en France.
Dans ce pays où il y a des mots pour tout justifier, le maire plaide tour à tour la mauvaise interprétation de tous les services qui l’ont entendu dire, la presse et même l’administration. Il présente donc désormais ses excuses tout en dénonçant une utilisation politique de l'affaire, mais le bébé ne sera toujours pas enterré à Champlan, le 05 janvier 2015 et dans la commune voisine.
Dans l’histoire de l’arrêté interdisant d’inhumer à Cugnaux, le maire divers gauche allait en guerre contre l’armée qui gérait des grandes parcelles dans sa commune, et qui refusait de lui céder un peu de terrain, alors que le cimetière ne pouvait plus accueillir ceux qui décideraient de se rendre à leur dernière demeure. Le maire gagna la bataille devant le Préfet de région, et les portes de cimetière se rouvrirent !
L’histoire, c’est comme le jour, elle revient mais sans jamais prendre les mêmes voies, même si ses couleurs se ressemblent tant ! Imaginons la musique des trompettes communautaires internationales si était une commune du pays du fils du Lion ou ailleurs dans ce vaste sud ! La communauté internationale, on le sait depuis toujours, ce n’est toujours que quelques voix du Nord. Heureusement, sinon la musique deviendrait immédiatement assourdissante.
Dans une ville où l’on empêche d’inhumer un bébé Rom, peut-on offrir un baba au rhum au vivant ?
Les fils de la Principauté bien aimée de Sakbyémé a mal dans l’homme sans droits. Ne lui servez plus la civilisation dans ces plats des territoires des peuples lointains, sauf si l’acte du maire de Champlan est la véritable. Mais alors, il n’en prendrait pas un bout !