Lettre à mon AM...
Cher toi, je te regarde sans cesse et toujours naissent en moi ces questions auxquelles je te prie de m’aider à trouver de réponses.
Il existe de bonnes dates, quelques unes dans l’année pour nous rappeler à nos rencontres familiales, religieuses et à nos amours. En existe-il aussi pour nous faire parler de nos AM…itiés ? Oui, de nos AM…itiés. Puisque toutes les autres se sont éloignées ou restent encore loin, parlons alors de nous sans plus tarder.
Peut-on vivre de ce sentiment qui n’exige de déclaration comme (l’AM…our) l’autre, pouvant s’accompagner d’eau fraîche ? Comment, quand et où naît-il ?
Je suis de ceux qui tremblent quand me présentant à la foule ou à une seule personne, l’on commence par : « C’est mon AM… » . La suite (en i ou en our) peut changer une vie. En bien ou en mal, on peut ne plus être le même. Mais ne les prononçons-nous pas vite ou à tort ?
Pour en finir, Cher AM…, pourrait-tu exister en « i » entre gens de sexes opposés, mais… aussi de tendances dites nouvelles ? Véritablement ?
Plus bas, l’eau de ma Sanaga coule sans attendre ma lettre, Sakbayeme dort. Qui que tu sois, je pense à toi et mon cœur bat plus fort maintenant qu’avant.