13 juin 2014
UN JOUR, J'ORGANISERAI AUSSI, MAIS...
Assis sur un banc public, nous donnons d’un geste plutôt mécanique, à manger aux oiseaux du bon dieu qui pourtant, se débrouilleraient bien sans nous. Pigeons et moineaux défilent, les plus petits s’éloignant dès que les gros arrivent, quand ils veulent ; Nous avons la tête ailleurs, la morne cérémonie d’ouverture de la coupe du monde de football, nous l’avons encore dans ces têtes qui sont ailleurs. Ces animations calquées aux dessins animés, cette hymne qui aurait été le même, si aboyé, bofffff, cela ne s’invente pas, c’était une composition de Pit Bull !
Dans sa veste d’une autre époque et sous sa barbe de plusieurs mois qui a fait toutes les gymnastiques pour ne pas s’approcher de l’eau, mon voisin aux ongles longs et noircis par la les successives gratouilles sur un peau qui démange toujours, pousse le monologue :
- Brésil/Croatie, quel malheur ! Le poids de l’événement sur le premier, le courage du second et… un but bien venu malgré l’erreur du pauvre brésilien contre son camp. Belle égalisation de celui en qui le monde entier espère pour un nouveau football. Sur lui toujours, le regard de plus de 2 milliards de téléspectateurs qui ne croient pas au très généreux penalty. Puis voilà venu un troisième but après plusieurs rebonds. Que ces danseurs de Samba remercient le pauvre gardien croate qui n’a pas été terrible, malgré de belles détentes. Le Brésil a encore tout à prouver. Boffff, on disait que l’organisateur est toujours avantagé, on le savait depuis toujours, on en a désormais confirmation !
Moi : Comment vous appelez-vous, cher ami d’infortune ?
Lui : Pierre André, de Paris
Lui : Et vous ?
Moi : Bitjomè, de la Principauté bien aimée de Sakbayémé ! Si l’organisateur est
toujours avantagé, dois-je entendre qu’à Paris, 1998 ….
Lui : Ah là, je ne vous permets pas. L’autre a eu sa diarrhée et fait sa crise d’épilepsie, nous n’y étions pour rien !
Moi : Le Brésil a 5 étoiles sur son maillot, mais il n’avait encore organisé qu’une fois !
Lui : Ah ouais ? Il se pourrait donc que… l’organisateur perde !
Moi : salut à toi, Cameroun/Mexique c’est ce soir. Aucun organisateur, espérons le meilleur jeu possible et la victoire des fils de Paul Biya, ils en veulent tellement !
Dans sa veste d’une autre époque et sous sa barbe de plusieurs mois qui a fait toutes les gymnastiques pour ne pas s’approcher de l’eau, mon voisin aux ongles longs et noircis par la les successives gratouilles sur un peau qui démange toujours, pousse le monologue :
- Brésil/Croatie, quel malheur ! Le poids de l’événement sur le premier, le courage du second et… un but bien venu malgré l’erreur du pauvre brésilien contre son camp. Belle égalisation de celui en qui le monde entier espère pour un nouveau football. Sur lui toujours, le regard de plus de 2 milliards de téléspectateurs qui ne croient pas au très généreux penalty. Puis voilà venu un troisième but après plusieurs rebonds. Que ces danseurs de Samba remercient le pauvre gardien croate qui n’a pas été terrible, malgré de belles détentes. Le Brésil a encore tout à prouver. Boffff, on disait que l’organisateur est toujours avantagé, on le savait depuis toujours, on en a désormais confirmation !
Moi : Comment vous appelez-vous, cher ami d’infortune ?
Lui : Pierre André, de Paris
Lui : Et vous ?
Moi : Bitjomè, de la Principauté bien aimée de Sakbayémé ! Si l’organisateur est
toujours avantagé, dois-je entendre qu’à Paris, 1998 ….
Lui : Ah là, je ne vous permets pas. L’autre a eu sa diarrhée et fait sa crise d’épilepsie, nous n’y étions pour rien !
Moi : Le Brésil a 5 étoiles sur son maillot, mais il n’avait encore organisé qu’une fois !
Lui : Ah ouais ? Il se pourrait donc que… l’organisateur perde !
Moi : salut à toi, Cameroun/Mexique c’est ce soir. Aucun organisateur, espérons le meilleur jeu possible et la victoire des fils de Paul Biya, ils en veulent tellement !
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